Cerf élaphe
Cerf élaphe
Cervus elaphus
Règne | Animalia |
---|---|
Embranchement | Chordata |
Sous-embr. | Vertebrata |
Classe | Mammalia |
Ordre | Artiodactyla |
Sous-ordre | Ruminantia |
Famille | Cervidae |
Sous-famille | Cervinae |
Genre | Cervus |
Répartition géographique
Aire relictuelle de répartition en Europe et Moyen-Orient
Le cerf élaphe (Cervus elaphus) est un grand cervidé des forêts tempérées d'Europe, d'Afrique du Nord et d'Asie.
Ce cerf est l'un des représentants les plus connus de cette famille de mammifères. L'espèce comprend plusieurs sous-espèces, dont le cerf de Bactriane, le cerf du Turkestan, le cerf rouge du Turkestan ou encore le cerf élaphe du Turkestan1.
La femelle est la biche et le petit, jusqu'à l'âge de 6 mois, le faon. Ensuite, de 6 mois à 1 an, on l'appelle « bichette » si c'est une femelle et « hère » s'il s'agit d'un mâle. De 1 an à 2 ans, le jeune mâle est appelé « daguet ».
Le cerf élaphe comme toute la grande et petite faune des zones tempérées a « récemment » (aux échelles géologiques du terme) du s'adapter à trois glaciations. De premiers échantillons d'ADN bien conservé ont été trouvés sur des os de trois cerfs (Cervus elaphus) daté de la fin du Pléistocène, trouvés dans la grotte Emine-Bair-Khosar (EBK) à la lisière nord du plateau inférieur du Massif montagneux de Chatyrdag en Crimée6. En les comparant à l'arbre phylogéographique connu basé sur l'analyse de séquences d'ADN mitochondrial de cerfs vivant aujourd'hui dans l'hémisphère Nord, les chercheurs ont pu confirmer que lapéninsule de Crimée semble avoir été un refuge important pour les cerfs élaphes du nord-Est de l'Europe, et qu'il a ensuite (pléistocène supérieur) joué un « rôle majeur » dans la recolonisation et la dispersion des espèces tempérées pour tout le continent eurasien6.Les cerfs sont de grands herbivores ruminants présents dans l'hémisphère nord.
Originellement adaptés aux milieux ouverts enherbés ou à des zones de type savanes tempérées (broutage de feuilles et bourgeons à différentes hauteurs), ils ont formé des populations et sous-populations qui ont évolué, sous la contrainte des dernières glaciations, et plus rapidement ensuite sous la contrainte de la chasse par l'homme et de l’anthropisation des paysages4. À la différence du cerf megaloceros, ils ont, sur une part significative de leur aire potentielle de répartition survécu aux chasseurs du paléolithique et du néolithique en se réfugiant dans les zones de forêt dense. Les grands cervidés doivent cependant affronter localement des phénomènes d'insularisation écologique notamment dû à la fragmentation des forêts où ils se sont réfugiés, ou au fait que certaines populations sont issues d'un petit nombre d'individus réintroduits (risques liés à laconsanguinité). Des sous-populations ont pu évoluer de manière assez divergente, notamment dans le contexte d'insularisation écologique des îles méditerranéennes au Pléistocène, avec des variations de taille, mais aussi fonctionnelles (par exemple de l'appareil masticateur ou des os du pied, qui sont probablement des adaptations aux modifications des niches écologiquesoccupées5. Le « mégacérin de la Sardaigne » et le « cerf de Sicile » devaient être des herbivores agiles et rapides. Le « megacérin de Sicile », semble quant à lui avoir été plus adapté à des milieux plus fermés et boisés5. En Crète, les petits mégacérins, même peu agiles, devaient être adaptés à des terrains durs et accidentés, sans qu'on sache exactement quelle pouvait être leur nourriture5.
Originellement adaptés aux milieux ouverts enherbés ou à des zones de type savanes tempérées (broutage de feuilles et bourgeons à différentes hauteurs), ils ont formé des populations et sous-populations qui ont évolué, sous la contrainte des dernières glaciations, et plus rapidement ensuite sous la contrainte de la chasse par l'homme et de l’anthropisation des paysages4. À la différence du cerf megaloceros, ils ont, sur une part significative de leur aire potentielle de répartition survécu aux chasseurs du paléolithique et du néolithique en se réfugiant dans les zones de forêt dense. Les grands cervidés doivent cependant affronter localement des phénomènes d'insularisation écologique notamment dû à la fragmentation des forêts où ils se sont réfugiés, ou au fait que certaines populations sont issues d'un petit nombre d'individus réintroduits (risques liés à laconsanguinité). Des sous-populations ont pu évoluer de manière assez divergente, notamment dans le contexte d'insularisation écologique des îles méditerranéennes au Pléistocène, avec des variations de taille, mais aussi fonctionnelles (par exemple de l'appareil masticateur ou des os du pied, qui sont probablement des adaptations aux modifications des niches écologiquesoccupées5. Le « mégacérin de la Sardaigne » et le « cerf de Sicile » devaient être des herbivores agiles et rapides. Le « megacérin de Sicile », semble quant à lui avoir été plus adapté à des milieux plus fermés et boisés5. En Crète, les petits mégacérins, même peu agiles, devaient être adaptés à des terrains durs et accidentés, sans qu'on sache exactement quelle pouvait être leur nourriture5.
Pour éclairer la phylogénie, la phylogéographie du cerf élaphe, une étude publiée en 2004 a comparé la séquence d'ADN mitochondrial ducytochrome b d'échantillons prélevés parmi cinquante et une populations de cerfs réparties dans le monde, mais essentiellement en Asie et Europe7.
Plusieurs méthodes ont été combinées (dont le maximum de parcimonie, le maximum de vraisemblance, et l'analyse cladistique imbriquée), qui ont conduit les chercheurs à conclure que les populations de cerf élaphe actuellement présentes seraient originaires de la région située entre le Kirghizistan et l'Inde du Nord, avec deux groupes génétiquement bien distincts, l'un vivant à l'ouest (composé de 4 sous-groupes) et un autre vivant à l'Est (composée de trois sous-groupes)7.
Ces données ADNmt ne confirment pas la classification traditionnelle considérant que tous les cerfs élaphes constituent une seule espèce, ni sa division en nombreuses sous-espèces7.
Plusieurs méthodes ont été combinées (dont le maximum de parcimonie, le maximum de vraisemblance, et l'analyse cladistique imbriquée), qui ont conduit les chercheurs à conclure que les populations de cerf élaphe actuellement présentes seraient originaires de la région située entre le Kirghizistan et l'Inde du Nord, avec deux groupes génétiquement bien distincts, l'un vivant à l'ouest (composé de 4 sous-groupes) et un autre vivant à l'Est (composée de trois sous-groupes)7.
Ces données ADNmt ne confirment pas la classification traditionnelle considérant que tous les cerfs élaphes constituent une seule espèce, ni sa division en nombreuses sous-espèces7.
Dans la littérature antérieure aux nouvelles données génomiques, l'espèce Cervus elaphus compte plusieurs sous-espèces :
- le cerf de Barbarie (Cervus elaphus barbarus), qui n'existe plus que dans une aire très limitée de l'Atlas ;
- le cerf élaphe de Corse et Sardaigne (Cervus elaphus corsicanus) ;
- le maral (Cervus elaphus maral) d'Europe Centrale et de Sibérie ;
- le cerf de Bactriane (Cervus elaphus bactrianus) ou cerf de Boukhara d'Asie centrale ;
- le hangul (Cervus elaphus hanglu) du Cachemire ;
- Cervus elaphus yarkandensis du Xinjiang ;
- le cerf de Roosevelt (Cervus elaphus roosevelti) d'Amérique du Nord et de Sibérie ;
- le cerf blanc du Danemark.
Ces espèces peuvent comprendre plusieurs génotypes ayant permis des adaptations aux caractéristiques biogéographiques et écologique des zones où elles ont vécu, et leur classification pourrait devoir être revue.
Cette classification est actuellement remise en cause par certains taxonomistes. Après analyse génétique8, le wapiti (anciennement Cervus elaphus wapiti) est considéré comme une espèce à part entière sous le nom de Cervus canadensis. Le nombre de sous-espèces tendrait à se réduire pour n'en conserver que deux.
Description et caractéristiques
Données biométriques
Les cerfs élaphe contemporains sont élancés, ils atteignent une longueur totale de 1,6 à 2,6 mètres, pour 1,10 à 1,50 mètre de hauteur au garrot et un poids de 67 à 300 kilogrammes, variant selon la sous-espèce. Le poids des animaux est variable selon l'âge, le sexe et la région. Le poids des cerfs augmente de l'Ouest vers l'Est de l'Europe : de 100 kg en Écosse à 250 kg en Europe de l'Est. Le poids des animaux se stabilise vers l'âge de 3-4 ans chez la femelle (biche) et 7 ans chez le mâle.
En France, les cerfs mâles pèsent entre 120 et 250 kg (150 kg en moyenne) pour une taille de 130 à 150 cm (1,40 mètre en moyenne) au garrot et environ 1,70 à 1,80 m à la hauteur de la tête, les biches encore plus gracieuses, pèsent entre 67 et 100 kg (80 kg en moyenne) pour une taille qui varie selon les individus de 1,10 à 1,30 mètre (1,20 mètre en moyenne) au garrot et 1,50 m environ à la hauteur de la tête.
Ce poids varie selon la qualité du milieu de vie (abondance de la nourriture) mais aussi selon la saison. Un hiver rude peut entraîner une perte de poids de 10 à 15 % chez les deux sexes, le mâle peut perdre jusqu'à 20 % de son poids pendant le brame et la femelle jusqu'à 15 % de son poids pendant la période d'allaitement. Les activités physiques également, notamment la course et les bonds montrent qu'en l'absence de prédateurs, les cerfs se déplacent moins et peuvent prendre plus de poids.
La queue mesure de 10 à 27 centimètres de long. Les sous-espèces nord-américaines et du nord est de l'Asie sont généralement plus grandes que les européennes. Les mâles sont également toujours plus massifs que les femelles. Le cerf élaphe est élancé, mais fortement constitué, avec un poitrail massif, et un cou assez élancé. Les yeux sont de taille moyenne, les oreilles effilées aussi longues que la moitié de la tête et des pattes très fines adaptées à la course rapide et aux bonds. Les pattes sont constituées de quatre doigts (les doigts 2, 3, 4, 5, le « pouce » étant atrophié), les doigts 2 et 5, plus petits que les deux autres et ramenés vers les côtés de la patte, ne marquent normalement pas le sol lors des déplacements, excepté lors de déplacements dans la neige ou la boue.
On trouvait en Gaule au moins jusqu'à l'époque gallo-romaine de cerfs de très grande taille, comme en témoigne par exemple le squelette entier d'un cerf retrouvé par les archéologues MM. Métayer et Gardin en 1856 dans un puits funéraire gallo-romain. Les mensurations du crâne de ce cerf sont de 56 cm de long et 25 cm de large (entre les deux arcade sourcilières) celles des omoplates : 37 cm de long et 23 cm de large. De nombreux squelette de loups et d'autres animaux contemporains de ce cerf ont été trouvés dans ce même puits, avec quelques têtes de chiots.
Pelage
La coloration du pelage varie fortement selon les saisons, l'âge et le sexe : d'une teinte brun-roux en été et gris-brun en hiver ; le mâle a généralement un pelage plus sombre que la femelle.
La mue intervient deux fois par an, aux printemps (avril-mai), alors les cerfs perdent leur pelage épais de l'hiver pour laisser apparaître une nouvelle peau plus fine et plus claire, puis à l'automne (octobre) apparait un pelage plus épais et plus foncé pour supporter les froids d'hiver.
Une tache jaune clair, appelée « cimier », orne la croupe des deux sexes.
Le faon a, jusqu'à l'âge de quatre mois environ, un pelage brun clair tacheté de blanc que l'on appelle « livrée ».
Exceptionnellement, des cerfs ont un pelage blanc, tels qu'en captivité au parc de Dyrehaven (Danemark), et au Moulin de Poyaller (dans les Landes, en France)9.ou à l'élevage de la belle charme en haute-Marne (champagne Ardenne)
Bois
À partir de neuf mois, des bois commencent à pousser sur la tête du mâle sous forme de pivots. À un an, ils sont visibles et le mâle est alors appelé « daguet ». Les bois vont alors tomber chaque année (fin de l'hiver chez les cerfs âgés, début du printemps chez les jeunes) pour repousser au cours de l'été. Une enveloppe nourricière, duveteuse et irriguée de sang, assure leur croissance à la manière d'un placenta pour un fœtus. Fin juillet, le velours tombe. Paradoxe de la nature, les bois ne sont opérationnels que lorsqu'ils sont morts. Pour les dépouiller totalement puis les aiguiser en vue des prochains combats, le cerf va "frayer" en les frottant de façon répétitive aux arbres. Il mange les lambeaux de peau qui pendent aux ramures. Les dimensions et la forme des bois varient individuellement mais aussi selon l'âge et la sous-espèce10. Contrairement à une croyance répandue, le nombre de cors n'a pas de rapport direct avec l'âge11. Le premier cors se nomme l'andouiller de massacre, le second le surandouiller.
Le bois de cerf râpé ou calciné était employé jusqu'à la fin du xixe siècle en tant qu'antidiarrhéique, les principes actifs étant la gélatine et le phosphate de calcium.
Répartition et habitat
Sa morphologie laisse penser que c'est un animal de milieu semi-ouvert à ouvert, mais il s'est réfugié dans les grands massifs forestiers.
Son territoire vital est estimé être de 1000 à 5000 ha ; 3000 ha en moyenne, ce chiffre variant considérablement selon la productivité du milieu. Ces animaux se déplacent parfois sur de longues distances (plusieurs dizaines de kilomètres) La fragmentation forestière peut donc leur nuire, mais elle semble pouvoir être compensée par des écoducs judicieusement placés (au-dessus d'autoroutes ou de TGV par exemple).
Son territoire vital est estimé être de 1000 à 5000 ha ; 3000 ha en moyenne, ce chiffre variant considérablement selon la productivité du milieu. Ces animaux se déplacent parfois sur de longues distances (plusieurs dizaines de kilomètres) La fragmentation forestière peut donc leur nuire, mais elle semble pouvoir être compensée par des écoducs judicieusement placés (au-dessus d'autoroutes ou de TGV par exemple).
Le cerf élaphe est répandu en Amérique du Nord, en Europe, et dans le nord de l'Asie. Il a été introduit et est élevé pour sa viande dans certains pays (Nouvelle-Zélande par exemple)
En France, il est aujourd'hui commun ou redevenu commun dans plusieurs régions. Parmi les grands massifs à cerf, citons :
- la Petite Pierre (Bas-Rhin), site d'étude de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage
- le massif de Châteauvillain- Arc-en-Barrois (Haute-Marne)
- Chambord (Loir-et-Cher) (réserve de chasse)
- la forêt de Compiègne (Oise)
Le cerf a parfois été trop chassé ce qui a conduit à sa disparition d'une grande partie de la France, et les populations menacées de certains massifs ont dû être reconstituées par réintroduction de l'espèce (dans la forêt de Paimpont en Bretagne ou de Mormal dans le nord par exemple).
En France, à la suite de la disparition de ses prédateurs naturels et depuis l'instauration des plans de chasse dans les années 1960, la population est en augmentation continue. Ainsi, la population serait passés de 40 000 en 1983 à 100 000 en 1994 et 160 000 en 2010. Localement, d'importants dégâts sont constatés sur les jeunes arbres. Toutefois, la capacité maximale des cerfs élaphe en France serait de 700 000 individus.
En France, à la suite de la disparition de ses prédateurs naturels et depuis l'instauration des plans de chasse dans les années 1960, la population est en augmentation continue. Ainsi, la population serait passés de 40 000 en 1983 à 100 000 en 1994 et 160 000 en 2010. Localement, d'importants dégâts sont constatés sur les jeunes arbres. Toutefois, la capacité maximale des cerfs élaphe en France serait de 700 000 individus.
Mode de vie et comportement
Mœurs et traits de vie
Le cerf est une espèce crépusculaire et nocturne (ou qui l'est devenue en s'adaptant à la pression de chasse, comme elle est probablement devenue forestière tout en étant plus adaptée aux milieux semi-ouverts ou ouverts).
L'espèce est grégaire. Les femelles (biches) se regroupent en hardes dont le domaine vital est de 2000 à 5000 ha. Les mâles vivent avec elles durant la saison des amours (le rut) un seul mâle peut être accompagné d'une harde qui peut compter jusqu'à soixante biches. La biche est la seule à prendre soin de son faon. Elle ne le quitte que pour aller brouter. La gestation est d'environ huit mois
Composition sociale : Les groupes ou hardes sont composées de mâles, de femelles ou mixtes. La cellule de base est « matriarcale »(avec un groupe triangulaire composé d'une biche suivie du jeune de l’année et du jeune de l’année précédente.
Composition sociale : Les groupes ou hardes sont composées de mâles, de femelles ou mixtes. La cellule de base est « matriarcale »(avec un groupe triangulaire composé d'une biche suivie du jeune de l’année et du jeune de l’année précédente.
Le cerf marque son territoire, par le brame du mâle, les excréments, l'abroutissement (plantules mangées, extrémités des rameaux latéraux ou de la pousse terminale des végétaux ligneux rongés), écorçage par les incisives inférieures dans un but alimentaire, peut être « médical » mais aussi comportemental) et frottis du cerf mâle (en période de reproduction et de repousse des bois)
Le rut et la reproduction
Mâles et femelles vivent séparément de décembre à août et se retrouvent pour une période de fécondation qui s'étend en Europe tempérée du 15 septembre au 15 octobre. Le système reproducteur des mâles et des jeunes biches nées de l'année précédente est en état de quiescence jusqu'au moment du rut où sous l'effet de certaines hormones, le sperme du cerf mâle devient plus abondant et change de composition14, ce qui a une importance pour les banques de sperme qui souhaitent conserver des spermatozoïdes d'espèces menacées de cerfs, ou pour l'insémination artificielle de biches d'élevage15.
Le rut, marqué par le cri rauque et retentissant du mâle (le brame16) intervient à la fin de l'été ou au début de l'automne, et dure environ un mois, mais on peut encore entendre bramer des cerfs jusqu'à mi-novembre. Le cri du brame tient du rugissement et du mugissement et s'entend à plusieurs kilomètres de distance. C'est aussi le terme désignant le rut chez cette espèce.
Le mâle avertit ainsi les femelles réceptives de sa présence, intimide ses concurrents potentiels et défie les autres mâles qui s'aventureraient sur son territoire. Il devient particulièrement agressif à ce moment-là. En cas de rencontre avec un autre mâle, après une phase d'intimidation, les deux adversaires vont mener un combat très violent durant lequel il se projettent la tête en avant l'un contre l'autre dans le but de déséquilibrer l'adversaire. Ces combats peuvent conduire à l'abandon ou à des blessures assez graves voire la mort par épuisement des deux cerfs s'ils restent coincés par leurs bois emmêlés : seuls des mâles de puissance et de ramure comparables s'affrontent de la sorte.
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